Selon lui, le cours est d’un double intérêt : le renforcement de compétences du personnel de santé et la formation sur l’impact du paludisme avec ses corollaires négatifs sur le développement socio-économique de notre pays.
Selon le directeur de cabinet du ministre de la Santé, le Sénégal est à son deuxième plan stratégique de lutte contre le paludisme afin de réduire de moitié la morbidité et la mortalité liée à cette pathologie à l’horizon 2010. Par rapport à l’ensemble des interventions qui sont d’une efficacité avérée sur le traitement du palu, il a par ailleurs insisté sur la démarche de qualité dans ces différentes interventions.
La prise en charge des cas de paludisme par les Act et le traitement intermittent (Tpi) en plus des moustiquaires imprégnées restent inscrits dans des stratégies visant le renforcement de la gestion du programme de paludisme. Le responsable a insisté de même sur une attente essentielle : l’appropriation des activités de lutte contre le paludisme par les participants à ce cours. En ce sens, le directeur de cabinet du ministre de la Santé est revenu sur l’objectif du cours de paludologie qui est de former des cadres du secteur de la santé pour l’acquisition de connaissances et de compétences managériales en vue d’une mise en œuvre optimale des interventions de lutte contre le paludisme au niveau opérationnel.
Le représentant du ministre de la santé a mis par ailleurs en relief la démarche partenariale qui a contribué à la réalisation et à l’exécution du cours de paludologie. En effet, il a magnifié la démarche de l’Institut Santé et développement de la Faculté de médecine et d’odontostomatologie de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, laquelle s’est investie pour la venue d’experts nationaux et internationaux pour la réalisation de ce cours. Il a terminé par remercier le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme qui a financé le cours de paludologie.
Sud Quotidien
Selon le directeur de cabinet du ministre de la Santé, le Sénégal est à son deuxième plan stratégique de lutte contre le paludisme afin de réduire de moitié la morbidité et la mortalité liée à cette pathologie à l’horizon 2010. Par rapport à l’ensemble des interventions qui sont d’une efficacité avérée sur le traitement du palu, il a par ailleurs insisté sur la démarche de qualité dans ces différentes interventions.
La prise en charge des cas de paludisme par les Act et le traitement intermittent (Tpi) en plus des moustiquaires imprégnées restent inscrits dans des stratégies visant le renforcement de la gestion du programme de paludisme. Le responsable a insisté de même sur une attente essentielle : l’appropriation des activités de lutte contre le paludisme par les participants à ce cours. En ce sens, le directeur de cabinet du ministre de la Santé est revenu sur l’objectif du cours de paludologie qui est de former des cadres du secteur de la santé pour l’acquisition de connaissances et de compétences managériales en vue d’une mise en œuvre optimale des interventions de lutte contre le paludisme au niveau opérationnel.
Le représentant du ministre de la santé a mis par ailleurs en relief la démarche partenariale qui a contribué à la réalisation et à l’exécution du cours de paludologie. En effet, il a magnifié la démarche de l’Institut Santé et développement de la Faculté de médecine et d’odontostomatologie de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, laquelle s’est investie pour la venue d’experts nationaux et internationaux pour la réalisation de ce cours. Il a terminé par remercier le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme qui a financé le cours de paludologie.
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