POUR UNE MEILLEURE PRISE EN CHARGE DU PALUDISME 70 biologistes formés
Ces agents de santé ont reçu vendredi à Thiès leur attestation de formation. La session de formation s’est déroulée au Service de lutte anti-paludique de Thiès (Slap). Cette session de formation « marque une étape cruciale vers l’amélioration de la qualité des services par l’amélioration de la qualité du diagnostic du paludisme », a dit la directrice de l’Ong américaine Intrahealth, Rodio Diallo.
« Cette formation sur le contrôle de qualité est une suite logique d’une série d’activités qui ont été menées grâce à l’appui technique que nous avons apporté au Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp) sur financement du Pmi (President Malaria Initiative, un programme du président Bush) », a dit pour sa part le docteur Abdoulaye Diop du Pnlp. Intrahealth est une Ong américaine engagée dans l’amélioration de la qualité des soins de santé.
Fondée en 1979, elle intervient dans l’amélioration de la formation des agents de santé et appuie le planning familial, la santé de la reproduction, ainsi que la santé maternelle et infantile. Auparavant, Intrahealth a doté 70 centres de santé de microscopes et d’intrants pour le diagnostic biologique du paludisme, a rappelé Mme Diallo.
Les actions de cet Ong obéissent à son objectif de renforcement des capacités dans la formation et le contrôle de qualité, en vue d’une meilleure prise en charge du paludisme dans les structures de santé. « On s’est rendu compte que le taux de diagnostic était vraiment faible et grâce à l’appui de Intrahealth, il est envisagé de faire des renforcements de capacité en nous dotant de matériel pour nous mettre à jour, être performants et pouvoir faire des diagnostics fiables », a dit pour sa part le docteur Abdoulaye Diop du Pnlp.
La session de formation qui vient de s’achever permettra aux bénéficiaires de ’’faire des lectures fiables’’ dans leur traitement du paludisme, a ajouté M. Diop, point focal de la lutte anti-vectorielle au Pnlp. « Beaucoup de structures ne disposent pas de microscopes personnels pour faire une bonne goutte épaisse, ni le matériel adéquat pour la confirmation microscopique », a-t-il encore affirmé.
Tous les districts sanitaires du pays, selon M. Diop, ont reçu des microscopes et des intrants nécessaires à la réussite du diagnostic microscopique. « Tout ce que nous voulons, c’est de relever le défi du diagnostic avec l’appui de notre partenaire Intrahealth, c’est-à-dire rendre les laboratoires plus performants et plus crédibles », a conclu le point focal de la lutte anti-vectorielle au Pnlp.
« Cette formation sur le contrôle de qualité est une suite logique d’une série d’activités qui ont été menées grâce à l’appui technique que nous avons apporté au Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp) sur financement du Pmi (President Malaria Initiative, un programme du président Bush) », a dit pour sa part le docteur Abdoulaye Diop du Pnlp. Intrahealth est une Ong américaine engagée dans l’amélioration de la qualité des soins de santé.
Fondée en 1979, elle intervient dans l’amélioration de la formation des agents de santé et appuie le planning familial, la santé de la reproduction, ainsi que la santé maternelle et infantile. Auparavant, Intrahealth a doté 70 centres de santé de microscopes et d’intrants pour le diagnostic biologique du paludisme, a rappelé Mme Diallo.
Les actions de cet Ong obéissent à son objectif de renforcement des capacités dans la formation et le contrôle de qualité, en vue d’une meilleure prise en charge du paludisme dans les structures de santé. « On s’est rendu compte que le taux de diagnostic était vraiment faible et grâce à l’appui de Intrahealth, il est envisagé de faire des renforcements de capacité en nous dotant de matériel pour nous mettre à jour, être performants et pouvoir faire des diagnostics fiables », a dit pour sa part le docteur Abdoulaye Diop du Pnlp.
La session de formation qui vient de s’achever permettra aux bénéficiaires de ’’faire des lectures fiables’’ dans leur traitement du paludisme, a ajouté M. Diop, point focal de la lutte anti-vectorielle au Pnlp. « Beaucoup de structures ne disposent pas de microscopes personnels pour faire une bonne goutte épaisse, ni le matériel adéquat pour la confirmation microscopique », a-t-il encore affirmé.
Tous les districts sanitaires du pays, selon M. Diop, ont reçu des microscopes et des intrants nécessaires à la réussite du diagnostic microscopique. « Tout ce que nous voulons, c’est de relever le défi du diagnostic avec l’appui de notre partenaire Intrahealth, c’est-à-dire rendre les laboratoires plus performants et plus crédibles », a conclu le point focal de la lutte anti-vectorielle au Pnlp.
