Dakar, 2 avr (APS) – L’Organisation mondiale de la santé (OMS) annonce une ‘’mauvaise nouvelle’’ sur le front de lutte contre le paludisme, avec l’apparition d’une résistance à l’artémisinine à la frontière entre le Cambodge et la Thaïlande.
Cette résistance ‘’menacerait les succès obtenus ces dix dernières années contre cette maladie, souligne l’OMS qui ‘’prend la menace très au sérieux’’, rapporte l’agence de presse spécialisée Destination Santé
‘’Elle prône un coup d’arrêt impératif à la pharmacorésistance apparue en Asie. Sinon, la situation risque d’échapper à tout contrôle avec la propagation de la résistance aux pays voisins de la Thaïlande et du Cambodge’’, indique la même source.
‘’L’enjeu est de taille’’, insiste le site spécialisée, avant d’affirmer que ‘’l’artémisinine est le seul antipaludéen encore efficace à ce jour. Chloroquine, méfloquine, sulfadoxine-pyriméthamine… tous ces traitements ont été progressivement dépassés avec l’apparition de souches pharmacorésistance.
‘’Si nous perdons l’artémisinine, il ne nous restera plus grand-chose. Et c’est justement pour éviter ce scénario catastrophe que le protocole thérapeutique retenu par l’OMS repose sur l’artémisinine en association avec d’autres substances. Ce sont les fameux ACT pour Artemisinin Combination Therapies’’, note-t-on de même source.
Destination Santé rappelle que ‘’ces traitements sont les seuls capables à ce jour, d’agir efficacement contre le paludisme. Et donc d’éviter le développement de résistances’’.
Cette résistance ‘’menacerait les succès obtenus ces dix dernières années contre cette maladie, souligne l’OMS qui ‘’prend la menace très au sérieux’’, rapporte l’agence de presse spécialisée Destination Santé
‘’Elle prône un coup d’arrêt impératif à la pharmacorésistance apparue en Asie. Sinon, la situation risque d’échapper à tout contrôle avec la propagation de la résistance aux pays voisins de la Thaïlande et du Cambodge’’, indique la même source.
‘’L’enjeu est de taille’’, insiste le site spécialisée, avant d’affirmer que ‘’l’artémisinine est le seul antipaludéen encore efficace à ce jour. Chloroquine, méfloquine, sulfadoxine-pyriméthamine… tous ces traitements ont été progressivement dépassés avec l’apparition de souches pharmacorésistance.
‘’Si nous perdons l’artémisinine, il ne nous restera plus grand-chose. Et c’est justement pour éviter ce scénario catastrophe que le protocole thérapeutique retenu par l’OMS repose sur l’artémisinine en association avec d’autres substances. Ce sont les fameux ACT pour Artemisinin Combination Therapies’’, note-t-on de même source.
Destination Santé rappelle que ‘’ces traitements sont les seuls capables à ce jour, d’agir efficacement contre le paludisme. Et donc d’éviter le développement de résistances’’.