Kaolack, 18 juil (APS) - Le ministre de l’Environnement et de la Protection de la nature, Djibo Leyti Ka, a appelé lundi à Kaolack les responsables de la phase II du Projet de gestion durable et participative des énergies traditionnelles et de substitution (PROGEDE II) à mener des concertations fréquentes à la base pour une meilleure appropriation par les populations.
Le ministre d’Etat qui présidait la cérémonie de lancement de la deuxième phase du PROGEDE a recommandé une implication forte à la base dans sa mise en œuvre, à l’implication des agents des Eaux-et-forêts, à une bonne gestion des revenus de l’exploitation forestière et au renforcement de la concertation pour un meilleur partage des objectifs du projet.
M. Ka a également appelé au renforcement des moyens d’intervention des agents des Agences régionales de développement (ARD) et des inspections régionales des Eaux-et-forêts et à l’organisation de réunions décentralisées à la base pour une appropriation du projet qui doit solliciter davantage l’expertise locale.
Le ministre d’Etat qui présidait la cérémonie de lancement de la deuxième phase du PROGEDE a recommandé une implication forte à la base dans sa mise en œuvre, à l’implication des agents des Eaux-et-forêts, à une bonne gestion des revenus de l’exploitation forestière et au renforcement de la concertation pour un meilleur partage des objectifs du projet.
M. Ka a également appelé au renforcement des moyens d’intervention des agents des Agences régionales de développement (ARD) et des inspections régionales des Eaux-et-forêts et à l’organisation de réunions décentralisées à la base pour une appropriation du projet qui doit solliciter davantage l’expertise locale.
Le PROGEDE II qui vise à augmenter de manière durable la disponibilité de combustibles domestiques diversifiés, à préserver les écosystèmes forestiers et à atténuer les effets des changements climatiques dans sept régions (Kaffrine, Kaolack, Kédougou, Kolda, Matam, Sédhiou et Tambacounda) s’étale sur cinq ans, a indiqué son responsable des opérations, Alassane Ngom.
Le PROGEDE qui est financé à hauteur de 8,716 milliards de francs CFA par la Banque mondiale et le Fonds nordique de développement, entend renforcer la gestion durable des forêts, améliorer les pratiques de gestion de la biomasse énergie, promouvoir les foyers améliorés, a retenu M. Ngom.
Le projet veut susciter l’abandon du système d’attribution des quotas du charbon de bois aux organismes d’exploitants forestiers en faveur d’un système de production de combustibles ligneux durable basé sur le respect des possibilités de formations forestières et l’accès concurrentiel aux ressources, a soutenu son responsable des opérations.
Le projet qui va fournir des activités génératrices de revenus s’emploiera à faire passer la production de combustibles ligneux de 180.000 mètres-cubes en 2009 à 1.875.000 mètres-cubes en 2015 et à augmenter l’utilisation des combustibles domestiques alternatifs de 5% entre 2011 et 2015, a dit M. Ngom.
‘’Nous allons aussi tenter de réduire la déforestation dans les sept régions de 71.000 ha pendant les cinq ans d’existence du projet qui se chargera également d’aider à augmenter les revenus des communautés participantes de 8,1 milliards FCFA en 2009 à 15,3 milliards en 2015 dont 50% au profit des femmes, a ajouté M. Ngom.
Le projet qui touche 152.000 bénéficiaires dont 50% de femmes va ramener à terme la consommation d’huile de jatropha de 5.250 litres à 10.500, diffuser 420.000 foyers améliorés et participer efficacement à la lutte contre l’exploitation frauduleuse transfrontalière de ressources forestières.
PON/SAB
Le PROGEDE qui est financé à hauteur de 8,716 milliards de francs CFA par la Banque mondiale et le Fonds nordique de développement, entend renforcer la gestion durable des forêts, améliorer les pratiques de gestion de la biomasse énergie, promouvoir les foyers améliorés, a retenu M. Ngom.
Le projet veut susciter l’abandon du système d’attribution des quotas du charbon de bois aux organismes d’exploitants forestiers en faveur d’un système de production de combustibles ligneux durable basé sur le respect des possibilités de formations forestières et l’accès concurrentiel aux ressources, a soutenu son responsable des opérations.
Le projet qui va fournir des activités génératrices de revenus s’emploiera à faire passer la production de combustibles ligneux de 180.000 mètres-cubes en 2009 à 1.875.000 mètres-cubes en 2015 et à augmenter l’utilisation des combustibles domestiques alternatifs de 5% entre 2011 et 2015, a dit M. Ngom.
‘’Nous allons aussi tenter de réduire la déforestation dans les sept régions de 71.000 ha pendant les cinq ans d’existence du projet qui se chargera également d’aider à augmenter les revenus des communautés participantes de 8,1 milliards FCFA en 2009 à 15,3 milliards en 2015 dont 50% au profit des femmes, a ajouté M. Ngom.
Le projet qui touche 152.000 bénéficiaires dont 50% de femmes va ramener à terme la consommation d’huile de jatropha de 5.250 litres à 10.500, diffuser 420.000 foyers améliorés et participer efficacement à la lutte contre l’exploitation frauduleuse transfrontalière de ressources forestières.
PON/SAB