La solidarité dans l’action ! L’initiative est bien salutaire et elle est de « Solidarité éducation en Afrique », une structure établie dans l’hexagone, regroupant des fils d’Afrique, du Sénégal en particulier, qui œuvre en faveur de l’épanouissement et des meilleures conditions d’études en Afrique. Construction et réhabilitation d’écoles, dons de matériel pédagogique, telle est la ligne de conduite de cette structure.
L’association « Solidarité éducation en Afrique » a offert 40 ordinateurs, des imprimantes et des livres aux lycées et collège de Ndioum, au lycée de Dagana et à l’école primaire de Tahikao à Thiès. Cette action humanitaire entre dans le cadre des initiatives démarrées depuis près de 4 ans. « Solidarité éducation en Afrique », basée à Evry, en France, s’est donc engagée dans la croisade contre l’analphabétisme en Afrique à travers diverses actions, notamment des dons en fournitures scolaires, mais également l’édification et la réfection d’écoles. Des initiatives qui sont entreprises à travers toute l’Afrique, comme en témoigne la réfection, l’année dernière, du Lycée Askia Mohamed au Mali où l’association s’était aussi distinguée en offrant du matériel informatique et des fournitures scolaires.
Au-delà de l’action qui vise le renforcement de l’enseignement et un appui aux enseignants, « Solidarité éducation en Afrique » veut contribuer de façon efficace à la réduction de la fracture numérique. L’ambition, selon le représentant de l’association au Sénégal, Mamadou Bocoum, par ailleurs receveur principal de la ville de Dakar, est d’offrir de meilleures conditions de travail aux écoles africaines et aux élèves d’être au même niveau que ceux de l’hexagone. Et comme si pour récompenser de bonnes actions, le Sénégalais, Ibrahima Diawadoh N’Jim, jusqu’ici vice-président, a été promu cette année président de l’association. Une promotion qui intervient juste avant son retour au terroir, avec dans ses bagages cet important équipement informatique. La réception, avant-hier, du matériel dans les entrepôts de la Foire de Dakar, a été l’occasion pour les représentants des établissements bénéficiaires de bien apprécier ce grand geste, ou ces gestes puisque ce n’est pas le premier. Le directeur de Cabinet du ministère des Affaires étrangères, Mankeur Ndiaye, un fils de Dagana, pense que c’est une importante contribution au combat si cher au président de la République, Me Wade, en faveur de la réduction de la fracture numérique.
C’est aussi le sentiment de tous les orateurs, notamment Mamadou Baal de la télévision nationale, ainsi que le représentant de Ndioum qui ont tous magnifié ces actions. L’association « Solidarité éducation en Afrique » a lancé aussi cette année la construction et la réhabilitation de salles de classes dans les localités de Bô, dans le département de Kanel, et Sénopolele, dans la région de Matam. Et, selon le président de l’association, M. N’Jim, si ces initiatives ont été possibles, c’est grâce à l’appui de partenaires publics, comme la ville d’Evry, le Conseil général Essonne, le Conseil régional de l’île de France, ainsi que des privés à l’image de « Ordinateurs sans frontières ».
Le Soleil
L’association « Solidarité éducation en Afrique » a offert 40 ordinateurs, des imprimantes et des livres aux lycées et collège de Ndioum, au lycée de Dagana et à l’école primaire de Tahikao à Thiès. Cette action humanitaire entre dans le cadre des initiatives démarrées depuis près de 4 ans. « Solidarité éducation en Afrique », basée à Evry, en France, s’est donc engagée dans la croisade contre l’analphabétisme en Afrique à travers diverses actions, notamment des dons en fournitures scolaires, mais également l’édification et la réfection d’écoles. Des initiatives qui sont entreprises à travers toute l’Afrique, comme en témoigne la réfection, l’année dernière, du Lycée Askia Mohamed au Mali où l’association s’était aussi distinguée en offrant du matériel informatique et des fournitures scolaires.
Au-delà de l’action qui vise le renforcement de l’enseignement et un appui aux enseignants, « Solidarité éducation en Afrique » veut contribuer de façon efficace à la réduction de la fracture numérique. L’ambition, selon le représentant de l’association au Sénégal, Mamadou Bocoum, par ailleurs receveur principal de la ville de Dakar, est d’offrir de meilleures conditions de travail aux écoles africaines et aux élèves d’être au même niveau que ceux de l’hexagone. Et comme si pour récompenser de bonnes actions, le Sénégalais, Ibrahima Diawadoh N’Jim, jusqu’ici vice-président, a été promu cette année président de l’association. Une promotion qui intervient juste avant son retour au terroir, avec dans ses bagages cet important équipement informatique. La réception, avant-hier, du matériel dans les entrepôts de la Foire de Dakar, a été l’occasion pour les représentants des établissements bénéficiaires de bien apprécier ce grand geste, ou ces gestes puisque ce n’est pas le premier. Le directeur de Cabinet du ministère des Affaires étrangères, Mankeur Ndiaye, un fils de Dagana, pense que c’est une importante contribution au combat si cher au président de la République, Me Wade, en faveur de la réduction de la fracture numérique.
C’est aussi le sentiment de tous les orateurs, notamment Mamadou Baal de la télévision nationale, ainsi que le représentant de Ndioum qui ont tous magnifié ces actions. L’association « Solidarité éducation en Afrique » a lancé aussi cette année la construction et la réhabilitation de salles de classes dans les localités de Bô, dans le département de Kanel, et Sénopolele, dans la région de Matam. Et, selon le président de l’association, M. N’Jim, si ces initiatives ont été possibles, c’est grâce à l’appui de partenaires publics, comme la ville d’Evry, le Conseil général Essonne, le Conseil régional de l’île de France, ainsi que des privés à l’image de « Ordinateurs sans frontières ».
Le Soleil