La région de Louga vient de soumettre un total de 26 projets à des partenaires au développement. C’est à l’occasion de la rencontre de la coopération décentralisée entre décideurs, collectivités locales, société civile et partenaires au développement, qui ont marqué leur ouverture à accompagner les différentes initiatives.
Tout comme le lancement des activités du Festival Mondial des Arts Nègres (Fesman), la rencontre de la coopération décentralisée est l’une des innovations majeures de la 8e édition du festival international de folklore et de percussions (Fesfop) clôturé ce 2 janvier. Ce cadre d’échanges entre décideurs, collectivités locales, société civile et partenaires au développement, aura permis aux acteurs de la région de soumettre à ces derniers, un total de 26 projets. Des projets qui touchent des domaines variés comme l’environnement, l’élevage, la santé, l’éducation, la jeunesse, les infrastructures, et qui ont été présentés comme de grandes problématiques à résoudre pour le développement socio -économique de la région.
Des propositions certes très pertinentes, mais qui demandent pour autant d’être remodelées suivant le cadrage tracé par les différents partenaires notamment de la France, la Belgique et l’Italie. Selon Mme Martines Jacques de la province de Namur, « nous ne sommes pas ici avec de l’argent à donner comme des bailleurs de fonds. Je pense que nous devons partir de ce qui existe et voir dans quelle mesure on pourra accompagner les initiatives parce qu’il ne s’agit pas de réinventer la roue ». C’est pourquoi, précise le responsable de la coopération de la région Piémont en Italie, la coopération décentralisée se doit de devenir patrimoine des communautés. « Il faut un processus de relations directes entre collectivités locales du Nord et celles du Sud qui doivent penser ensemble les problématiques et discuter pour trouver des solutions avec les compétences que chacun des acteurs disposent » a indiqué Mr Georges Garelli. Une opinion défendue par le coordinateur national de l’ONG italienne Cisv, Dr Mamadou Cissé, qui pense qu’il faut partir d’un référentiel pour bâtir quelque chose avec l’accompagnement des partenaires qui viendront en appui aux actions entreprises. C’est ainsi que le comité de suivi présidé par le responsable du bureau de la coopération décentralisée du conseil régional de Louga, Mr Moustapha Cissé, entend travailler pour poursuivre ce processus déjà déclenché et qui devra aboutir à la réalisation de projets porteurs pour le développement de la région.
Le Soleil
Tout comme le lancement des activités du Festival Mondial des Arts Nègres (Fesman), la rencontre de la coopération décentralisée est l’une des innovations majeures de la 8e édition du festival international de folklore et de percussions (Fesfop) clôturé ce 2 janvier. Ce cadre d’échanges entre décideurs, collectivités locales, société civile et partenaires au développement, aura permis aux acteurs de la région de soumettre à ces derniers, un total de 26 projets. Des projets qui touchent des domaines variés comme l’environnement, l’élevage, la santé, l’éducation, la jeunesse, les infrastructures, et qui ont été présentés comme de grandes problématiques à résoudre pour le développement socio -économique de la région.
Des propositions certes très pertinentes, mais qui demandent pour autant d’être remodelées suivant le cadrage tracé par les différents partenaires notamment de la France, la Belgique et l’Italie. Selon Mme Martines Jacques de la province de Namur, « nous ne sommes pas ici avec de l’argent à donner comme des bailleurs de fonds. Je pense que nous devons partir de ce qui existe et voir dans quelle mesure on pourra accompagner les initiatives parce qu’il ne s’agit pas de réinventer la roue ». C’est pourquoi, précise le responsable de la coopération de la région Piémont en Italie, la coopération décentralisée se doit de devenir patrimoine des communautés. « Il faut un processus de relations directes entre collectivités locales du Nord et celles du Sud qui doivent penser ensemble les problématiques et discuter pour trouver des solutions avec les compétences que chacun des acteurs disposent » a indiqué Mr Georges Garelli. Une opinion défendue par le coordinateur national de l’ONG italienne Cisv, Dr Mamadou Cissé, qui pense qu’il faut partir d’un référentiel pour bâtir quelque chose avec l’accompagnement des partenaires qui viendront en appui aux actions entreprises. C’est ainsi que le comité de suivi présidé par le responsable du bureau de la coopération décentralisée du conseil régional de Louga, Mr Moustapha Cissé, entend travailler pour poursuivre ce processus déjà déclenché et qui devra aboutir à la réalisation de projets porteurs pour le développement de la région.
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