Une mission de la communauté française de Belgique conduite par Joël Decharneux , Commissariat général aux relations internationales, a séjourné mercredi dernier dans la capitale du Ndiambour.
Elle a promis , la poursuite de l’appui à la politique culturelle du Sénégal et au fespop en particulier.
Accompagné de Mamadou Kâne conseiller à l’Ambassade de Belgique à Dakar,M. Decharneux a été accueilli par le président du conseil régional Moustapha Ndiaye, par le président Babacar Sarr les organisateurs du fesfop, le directeur du centre culturel régional Biradieye Fall et les artistes de la troupe folklorique de la commune qui lui ont fait découvrir, à travers une belle prestation, le riche patrimoine culturel du Ndiambour et du Djolof.
La délégation de M. Decharneux a visité le centre de formation et d’appui aux métiers, le musée des percussions, le village -campement touristique que le maire Maniang Faye et le conseil municipal ont mis à la disposition du fesfop et la bibliothèque du centre culturel.
M. Decharneux a saisi cette occasion pour rappeler à la presse que l’accord de coopération pour trois ans entre Wallonie-Bruxelles et le Sénégal, qui a été négocié en Mars 2006 à Bruxelles, prévoit un important appui à la politique culturelle sénégalaise en général et à l’organisation du festival international de folklores et de percussions de Louga en particulier.
La coopération belge a ainsi décidé de continuer la formation des techniciens du fesfop en sons et lumière, à appuyer aussi la programmation du festival en prenant en charge les frais de participation d’un groupe d’artistes (frais de transport, cachet etc).
Les partenaires belges entendent également contribuer à la modernisation du musée des percussions en mettant à la disposition de Louga leur expertise en muséologie, en rénovation de patrimoine . L’équipement de la bibliothèque du centre culturel en livres, la poursuite de la formation des techniciens du fesfop dans différents domaines, comme la maintenance informatique.
Ce qui est remarquable et réconfortant à Louga, c’est que les populations contribuent au développement culturel et à la promotion du fesfop qui est devenu au fil du temps un vecteur du développement économique, du développement touristique, un important outil pour développer l’apprentissage des métiers, l’hôtellerie, le transport, la restauration. les effets induits du fesfop dans la région de Louga sont de plus en plus visibles.
M. Decharneux a promis d’étudier avec ses collaborateurs et ses partenaires le dossier de la rénovation du futur village du fesfop, qui pourrait être également présenté à d’autres bailleurs de fonds.
Source:Le soleil
Elle a promis , la poursuite de l’appui à la politique culturelle du Sénégal et au fespop en particulier.
Accompagné de Mamadou Kâne conseiller à l’Ambassade de Belgique à Dakar,M. Decharneux a été accueilli par le président du conseil régional Moustapha Ndiaye, par le président Babacar Sarr les organisateurs du fesfop, le directeur du centre culturel régional Biradieye Fall et les artistes de la troupe folklorique de la commune qui lui ont fait découvrir, à travers une belle prestation, le riche patrimoine culturel du Ndiambour et du Djolof.
La délégation de M. Decharneux a visité le centre de formation et d’appui aux métiers, le musée des percussions, le village -campement touristique que le maire Maniang Faye et le conseil municipal ont mis à la disposition du fesfop et la bibliothèque du centre culturel.
M. Decharneux a saisi cette occasion pour rappeler à la presse que l’accord de coopération pour trois ans entre Wallonie-Bruxelles et le Sénégal, qui a été négocié en Mars 2006 à Bruxelles, prévoit un important appui à la politique culturelle sénégalaise en général et à l’organisation du festival international de folklores et de percussions de Louga en particulier.
La coopération belge a ainsi décidé de continuer la formation des techniciens du fesfop en sons et lumière, à appuyer aussi la programmation du festival en prenant en charge les frais de participation d’un groupe d’artistes (frais de transport, cachet etc).
Les partenaires belges entendent également contribuer à la modernisation du musée des percussions en mettant à la disposition de Louga leur expertise en muséologie, en rénovation de patrimoine . L’équipement de la bibliothèque du centre culturel en livres, la poursuite de la formation des techniciens du fesfop dans différents domaines, comme la maintenance informatique.
Ce qui est remarquable et réconfortant à Louga, c’est que les populations contribuent au développement culturel et à la promotion du fesfop qui est devenu au fil du temps un vecteur du développement économique, du développement touristique, un important outil pour développer l’apprentissage des métiers, l’hôtellerie, le transport, la restauration. les effets induits du fesfop dans la région de Louga sont de plus en plus visibles.
M. Decharneux a promis d’étudier avec ses collaborateurs et ses partenaires le dossier de la rénovation du futur village du fesfop, qui pourrait être également présenté à d’autres bailleurs de fonds.
Source:Le soleil