Saint-Louis, 11 avr (APS) - Le cabinet d’architecture qui devra conduire les travaux de réhabilitation de la place Faidherbe et l’avenue Jean Mermoz de Saint-Louis a été choisi après un dépouillement public en présence du maire Ousmane Masseck Ndiaye au Quai des Arts, a constaté sur place l’APS.
Le cabinet a été choisi sur trois sortis d’un lot de dix pour ses propositions qui recoupent les attentes de la mairie, a déclaré le M. Ndiaye, séduit aussi par le coût des travaux moins élevés par rapport aux autres postulants. Pour les besoins de ce projet, des appels d’offres international et national ont été lancés.
Ce projet piloté par l’Agence de développement municipal (ADC), au nom de la municipalité, bénéficie de l’appui de partenaires comme l’Unesco, Lille Métropole, la ville de Toulouse.
Il devra prendre en compte le classement de Saint-Louis comme patrimoine mondial devant répondre à certaines normes pour sa réhabilitation.
Le maire qui précisait que le jury comprenait outre ses services, l’Unesco, les ministères de la Culture et des Finances, a indiqué qu’il s’agira de revenir à l’image de cette place des années 50.
Le maire a profité de cette occasion pour décliner ses ambitions pour la ville qui a commencé à prendre forme avec la réalisation de certaines infrastructures comme la Place Abdoulaye Wade, la salle des fêtes, ainsi que l’assainissement des quartiers de Diamaguene et HLM.
Ces projets ont été réalisés grâce à la coopération décentralisée, a dit le maire se félicitant des apports de partenaires comme les villes françaises de Lille et Toulouse qui ont aidé Saint-Louis à disposer de base de données architecturales pour se doter d’un plan de sauvegarde.
Le cabinet a été choisi sur trois sortis d’un lot de dix pour ses propositions qui recoupent les attentes de la mairie, a déclaré le M. Ndiaye, séduit aussi par le coût des travaux moins élevés par rapport aux autres postulants. Pour les besoins de ce projet, des appels d’offres international et national ont été lancés.
Ce projet piloté par l’Agence de développement municipal (ADC), au nom de la municipalité, bénéficie de l’appui de partenaires comme l’Unesco, Lille Métropole, la ville de Toulouse.
Il devra prendre en compte le classement de Saint-Louis comme patrimoine mondial devant répondre à certaines normes pour sa réhabilitation.
Le maire qui précisait que le jury comprenait outre ses services, l’Unesco, les ministères de la Culture et des Finances, a indiqué qu’il s’agira de revenir à l’image de cette place des années 50.
Le maire a profité de cette occasion pour décliner ses ambitions pour la ville qui a commencé à prendre forme avec la réalisation de certaines infrastructures comme la Place Abdoulaye Wade, la salle des fêtes, ainsi que l’assainissement des quartiers de Diamaguene et HLM.
Ces projets ont été réalisés grâce à la coopération décentralisée, a dit le maire se félicitant des apports de partenaires comme les villes françaises de Lille et Toulouse qui ont aidé Saint-Louis à disposer de base de données architecturales pour se doter d’un plan de sauvegarde.