Une concertation a regroupé au cours de la semaine écoulée, des parlementaires, des partenaires techniques et financiers et des experts pour une revue de l’avant-projet portant code de l’aquaculture. Cette rencontre de trois a connu des moments forts avec des résultats obtenus dans le sens de l’édification d’un code du secteur de l’aquaculture.
Le directeur général de l’agence nationale de l’aquaculture, M. Amath Wade a expliqué que tout est entrepris pour faire du Sénégal un pays aquacole en 2010. A la fin de la rencontre de trois jours tenue à Saly Portudal (Petite Côte), Amath Wade a affirmé que les attentes ont été au rendez-vous. Il a déclaré que le Sénégal va se doter d’un code qui montre ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire. A l’en croire, les dispositions du code sont loin d’un arsenal répressif mais une démarche visant à protéger l’activité aquacole.
Le directeur général de l’agence nationale en charge de la culture des poissons a loué la participation des techniciens du ministère de l’environnement. Il n’a pas manqué de dire que l’aquaculture est totalement intégrée dans le monde rural et s’inscrit en direction de la Stratégie de croissance accélérée (Sca). Pour lui, la collaboration avec les partenaires divers qui est à saluer est le fruit d’un long compagnonnage. M. Wade a traduit la volonté politique de promouvoir l’aquaculture) travers les efforts faits en termes de mis en place des intrants, des coûts d’aménagement, de la disponibilité d’aliments et la fabrication de cages. Tout cela, à l’en croire, a abouti à l’existence de deux fermes à Ziguinchor (Goumel et Colobane) à Saint-Louis (Boppou Thior et Dejeuss).
Le directeur de l’agence nationale de l’aquaculture a révélé l’entrée dans la phase semi industriel avec une production de 500 tonnes. A son avis, les récoltes vont augmenter avec l’implication de plus de privés suivant une ligne de crédits à ouvrir auprès de la banque africaine de développement pour la création et le financement de 10 autres fermes à travers les 14 régions du pays avec des cages coréennes à longue durée de vie.
Samba Niébé BA
Sud Quotidien
Le directeur général de l’agence nationale de l’aquaculture, M. Amath Wade a expliqué que tout est entrepris pour faire du Sénégal un pays aquacole en 2010. A la fin de la rencontre de trois jours tenue à Saly Portudal (Petite Côte), Amath Wade a affirmé que les attentes ont été au rendez-vous. Il a déclaré que le Sénégal va se doter d’un code qui montre ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire. A l’en croire, les dispositions du code sont loin d’un arsenal répressif mais une démarche visant à protéger l’activité aquacole.
Le directeur général de l’agence nationale en charge de la culture des poissons a loué la participation des techniciens du ministère de l’environnement. Il n’a pas manqué de dire que l’aquaculture est totalement intégrée dans le monde rural et s’inscrit en direction de la Stratégie de croissance accélérée (Sca). Pour lui, la collaboration avec les partenaires divers qui est à saluer est le fruit d’un long compagnonnage. M. Wade a traduit la volonté politique de promouvoir l’aquaculture) travers les efforts faits en termes de mis en place des intrants, des coûts d’aménagement, de la disponibilité d’aliments et la fabrication de cages. Tout cela, à l’en croire, a abouti à l’existence de deux fermes à Ziguinchor (Goumel et Colobane) à Saint-Louis (Boppou Thior et Dejeuss).
Le directeur de l’agence nationale de l’aquaculture a révélé l’entrée dans la phase semi industriel avec une production de 500 tonnes. A son avis, les récoltes vont augmenter avec l’implication de plus de privés suivant une ligne de crédits à ouvrir auprès de la banque africaine de développement pour la création et le financement de 10 autres fermes à travers les 14 régions du pays avec des cages coréennes à longue durée de vie.
Samba Niébé BA
Sud Quotidien