Saint-Louis : les procédures vont être accélérées pour l’ouverture de deux fermes industrielles
Saint-Louis, 21 jan (APS) - Les procédures pour l’ouverture de deux fermes industrielles à Djoudj et Bopp Thior, localités situées respectivement dans les communautés rurales de Diama et Gandon, vont être accélérées, a indiqué le directeur de l’Agence nationale de l’aquaculture (ANA), Hamath Wade.
S’exprimant face à la presse à l’issue d’une rencontre d’explication des missions de l’ANA qui a pour ambition de remédier à la rareté des ressources halieutiques et contribuer à assurer l’autosuffisance alimentaire, il a annoncé que l’objectif est de produire 500 tonnes pour la premiére année.
Il a remercié les autorités locales avec à leur tête le gouverneur de la région de Saint-Louis, ainsi que les présidents des communautés rurales concernées pour le bon accueil qu’ils ont réservé à ce projet qui compte franchir un deuxième pallier après l’installation des fermes agricoles en passant à une phase industrielle.
Au cours de cette rencontre, le directeur technique de l’ANA, Abdoul Aziz Badiane, est largement revenu sur les missions de cette agence créée en 2006 avec la décision prise par l’Etat d’accorder une priorité à ce secteur pourvoyeur d’emplois.
M. Badiane a aussi mis l’accent sur les effets positifs du développement de l’aquaculture pour l’économie nationale avec les perspectives qui s’offrent avec elle pour l’émergence d’une économie tournée vers la conservation du produit grâce aux usines de glace et au transport.
Il a insisté sur l’aspect lucratif de l’activité dans des pays comme l’Egypte où la production nationale est de 450 000 tonnes. Un chiffre qui dépasse largement la consommation annuelle en poisson du Sénégal.
La visite organisée par la Stratégie de la croissance accélérée (SCA) au profit des parlementaires, a permis à ces derniers de se rendre compte des avancées faites par le Sénégal, en particulier du processus d’appropriation de l’aquaculture par les populations rurales.
Les doléances pour une extension des expériences de ferme ont été fortes, a signalé Hamath Wade selon qui des villages réclament leur ferme après avoir été convaincus des avantages réels que recèle cette activité.
Le Sénégal est accompagné dans ce projet de développement de l’aquaculture par la Corée, qui ambitionne d’étendre l’activité aux espèces évoluant en mer où elle possède une maîtrise avérée.
S’exprimant face à la presse à l’issue d’une rencontre d’explication des missions de l’ANA qui a pour ambition de remédier à la rareté des ressources halieutiques et contribuer à assurer l’autosuffisance alimentaire, il a annoncé que l’objectif est de produire 500 tonnes pour la premiére année.
Il a remercié les autorités locales avec à leur tête le gouverneur de la région de Saint-Louis, ainsi que les présidents des communautés rurales concernées pour le bon accueil qu’ils ont réservé à ce projet qui compte franchir un deuxième pallier après l’installation des fermes agricoles en passant à une phase industrielle.
Au cours de cette rencontre, le directeur technique de l’ANA, Abdoul Aziz Badiane, est largement revenu sur les missions de cette agence créée en 2006 avec la décision prise par l’Etat d’accorder une priorité à ce secteur pourvoyeur d’emplois.
M. Badiane a aussi mis l’accent sur les effets positifs du développement de l’aquaculture pour l’économie nationale avec les perspectives qui s’offrent avec elle pour l’émergence d’une économie tournée vers la conservation du produit grâce aux usines de glace et au transport.
Il a insisté sur l’aspect lucratif de l’activité dans des pays comme l’Egypte où la production nationale est de 450 000 tonnes. Un chiffre qui dépasse largement la consommation annuelle en poisson du Sénégal.
La visite organisée par la Stratégie de la croissance accélérée (SCA) au profit des parlementaires, a permis à ces derniers de se rendre compte des avancées faites par le Sénégal, en particulier du processus d’appropriation de l’aquaculture par les populations rurales.
Les doléances pour une extension des expériences de ferme ont été fortes, a signalé Hamath Wade selon qui des villages réclament leur ferme après avoir été convaincus des avantages réels que recèle cette activité.
Le Sénégal est accompagné dans ce projet de développement de l’aquaculture par la Corée, qui ambitionne d’étendre l’activité aux espèces évoluant en mer où elle possède une maîtrise avérée.
