Le coordinateur national du Projet d’appui à la petite irrigation locale (PAPIL) Amadou Baba Sy, a réitéré au cours de la rencontre de coordination trimestriel, l’objectif d’atteindre 10.000 T de riz 2.500 t de produits horticoles et 500T de maïs dans les régions de Fatick, Kolda, Kédougou et Tambacounda.
Le projet met en œuvre des aménagements hydro agricoles et pastoraux durables en accompagnant les populations dans le cadre de leur renforcement des capacités, en contribuant à la sécurité alimentaire par le développement de la petite irrigation au niveau local. Tambacounda, avec ses deux seuls ouvrages de Dialacoto et Koumpentoum, doit combler son retard.
Selon Abdourahmane Ndiaye, l’adjoint au gouverneur chargé du développement, qui a présidé cette rencontre, les composantes infrastructures hydro agricoles et pastorales, les infrastructures de désenclavement et les actions de protection de l’environnement permettent de contribuer au développement qui s’instaure. Pour lui, la région a mis en place une plate forme des acteurs de l’eau et de l’assainissement. Le Papil reste pour lui un projet de référence et novateur. Les nouvelles vallées du Papil restent, selon lui, un espoir et va permettre l’émergence de pool de développement. Il s’est félicité de la prise en charge du Sandougou et son affluent le Mamacounda.
Le projet envisage dans la région de Tambacounda, l’aménagement d’une quinzaine d’ouvrages dont 5 mares pastorales et 10 ouvrages de rétention afin d’améliorer les conditions d’abreuvement du bétail et d’intensifier la production agricole sur environ 200 ha. Le long du fleuve Gambie, il est envisagé la réalisation de 10 petits périmètres par pompage (jardins, bananeraies, etc.) d’une taille moyenne de 5 ha. La maîtrise des eaux de ruissellement s’impose comme une priorité et une réponse dans le cadre d’une politique d’adaptation imposée aujourd’hui par les changements climatiques selon Amadou Baba Sy. En démarrant les travaux d’aménagement des 8 nouvelles vallées dans la région de Tambacounda, le Papil continue son programme de valoriser des eaux de ruissellement au profit des communautés rurales de Missirah Koar Sinthiou Mamadou Boubou Bamba Thialene, Sinhiou Maléme et Missirah dont les présidents étaient présents à cette rencontre. Pour Amadou Baba Sy le coordinateur national, la région de Tambacounda aux potentialités immenses est mise à profit pour l’augmentation de la production agricole sur une base durable tout comme dans les régions de Fatick, Kolda, Kédougou. En bonne place, selon M Sy, le combat contre la dégradation des terres, la salinisation et la baisse de la pluviométrie qui pousse à des réactions d’envergure conformément à la politique mise en œuvre par les pouvoirs publics avec le soutien de la Bad, le groupe de la Banque africaine de développement. Seulement, deux ouvrages ont déjà était réalisés au niveau de Koumpentoum et Dialacoto dans la région de Tambacounda et il s’agit de combler le retard pour entamer des actions de valorisation autour de la dizaine d’ouvrages de rétention d’eau. Cela afin de mettre en place de véritable pool de développement pour assurer en toute saison les activités diversifiées de choix pour assurer la sécurité alimentaire pendant 7 à 8 mois et l’autosuffisance alimentaire.
Produire ce que nous consommons et se nourrir de ce que nous produisons doivent au delà du slogan rester une réalité, dit en substance le coordinateur national.
Pape Demba SIDIBE
Le Soleil
Le projet met en œuvre des aménagements hydro agricoles et pastoraux durables en accompagnant les populations dans le cadre de leur renforcement des capacités, en contribuant à la sécurité alimentaire par le développement de la petite irrigation au niveau local. Tambacounda, avec ses deux seuls ouvrages de Dialacoto et Koumpentoum, doit combler son retard.
Selon Abdourahmane Ndiaye, l’adjoint au gouverneur chargé du développement, qui a présidé cette rencontre, les composantes infrastructures hydro agricoles et pastorales, les infrastructures de désenclavement et les actions de protection de l’environnement permettent de contribuer au développement qui s’instaure. Pour lui, la région a mis en place une plate forme des acteurs de l’eau et de l’assainissement. Le Papil reste pour lui un projet de référence et novateur. Les nouvelles vallées du Papil restent, selon lui, un espoir et va permettre l’émergence de pool de développement. Il s’est félicité de la prise en charge du Sandougou et son affluent le Mamacounda.
Le projet envisage dans la région de Tambacounda, l’aménagement d’une quinzaine d’ouvrages dont 5 mares pastorales et 10 ouvrages de rétention afin d’améliorer les conditions d’abreuvement du bétail et d’intensifier la production agricole sur environ 200 ha. Le long du fleuve Gambie, il est envisagé la réalisation de 10 petits périmètres par pompage (jardins, bananeraies, etc.) d’une taille moyenne de 5 ha. La maîtrise des eaux de ruissellement s’impose comme une priorité et une réponse dans le cadre d’une politique d’adaptation imposée aujourd’hui par les changements climatiques selon Amadou Baba Sy. En démarrant les travaux d’aménagement des 8 nouvelles vallées dans la région de Tambacounda, le Papil continue son programme de valoriser des eaux de ruissellement au profit des communautés rurales de Missirah Koar Sinthiou Mamadou Boubou Bamba Thialene, Sinhiou Maléme et Missirah dont les présidents étaient présents à cette rencontre. Pour Amadou Baba Sy le coordinateur national, la région de Tambacounda aux potentialités immenses est mise à profit pour l’augmentation de la production agricole sur une base durable tout comme dans les régions de Fatick, Kolda, Kédougou. En bonne place, selon M Sy, le combat contre la dégradation des terres, la salinisation et la baisse de la pluviométrie qui pousse à des réactions d’envergure conformément à la politique mise en œuvre par les pouvoirs publics avec le soutien de la Bad, le groupe de la Banque africaine de développement. Seulement, deux ouvrages ont déjà était réalisés au niveau de Koumpentoum et Dialacoto dans la région de Tambacounda et il s’agit de combler le retard pour entamer des actions de valorisation autour de la dizaine d’ouvrages de rétention d’eau. Cela afin de mettre en place de véritable pool de développement pour assurer en toute saison les activités diversifiées de choix pour assurer la sécurité alimentaire pendant 7 à 8 mois et l’autosuffisance alimentaire.
Produire ce que nous consommons et se nourrir de ce que nous produisons doivent au delà du slogan rester une réalité, dit en substance le coordinateur national.
Pape Demba SIDIBE
Le Soleil