Accord de la BAD et de la BID pour le financement de la 2e phase du PAPIL
Fatick, 22 avr (APS) – La Banque africaine de développement (BAD) et la Banque islamique de développement (BID) ont accepté de financer la deuxième phase du Projet d’appui à la petite irrigation locale (PAPIL), pour un montant global estimé entre 15 et 16 milliards de francs Cfa, a indiqué, jeudi à Fatick, le coordonnateur national dudit projet.
Younoussa Mballo, qui intervenait à l’occasion d’une réunion d’information, a indiqué que cette seconde phase couvrira les régions de Fatick, Kolda, Tambacounda et Kédougou.
Selon lui, le principal bailleur du PAPIL a accepté ce financement complémentaire, à cause de l’impact réel des résultats probants de la première phase.
Plus du 1/3 des 12 milliards du financement de la première phase a été consacré à Fatick, a-t-il indiqué, soulignant que pour la seconde phase, cette région aura droit à plus du plus du quart de l’enveloppe.
Selon Amadou Diop, adjoint au gouverneur chargé du développement, qui présidait la cérémonie en présence de Boulenger Xavier, représentant de la BAD, et de Abdel Wahab Chérif de la BID, le PAPIL, lancé en fin 2005, a obtenu ‘’des résultats très appréciables en termes économiques, environnementaux et sociaux’’, etc.
Une vingtaine d’ouvrages hydro-agricoles et une trentaine d’infrastructures d’appui ou de valorisation de la production (écoles, cases de santé, batteuses à riz, magasins, décortiqueuses, moulins..) ont ainsi été réalisés, a-t-il signalé.
Selon le chef de l’antenne régionale du PAPIL, Mamadou Camara, les activités prévues dans le cadre de la 2e phase porteront encore sur la réalisation d’infrastructures hydro-agricoles et pastorales durables et la récupération et la valorisation de terres salées ou dégradées.
Il s’agit, entres autres, de l’aménagement de 11 nouvelles vallées et de sept mares pastorales, de la construction de 10 magasins communautaires multifonctionnels et d’une digue de 700 m à Médina Diokoye, de la régénération de 50 ha de mangroves et de la protection de cinq sites dans les milieux insulaires.
MS/ASG
Younoussa Mballo, qui intervenait à l’occasion d’une réunion d’information, a indiqué que cette seconde phase couvrira les régions de Fatick, Kolda, Tambacounda et Kédougou.
Selon lui, le principal bailleur du PAPIL a accepté ce financement complémentaire, à cause de l’impact réel des résultats probants de la première phase.
Plus du 1/3 des 12 milliards du financement de la première phase a été consacré à Fatick, a-t-il indiqué, soulignant que pour la seconde phase, cette région aura droit à plus du plus du quart de l’enveloppe.
Selon Amadou Diop, adjoint au gouverneur chargé du développement, qui présidait la cérémonie en présence de Boulenger Xavier, représentant de la BAD, et de Abdel Wahab Chérif de la BID, le PAPIL, lancé en fin 2005, a obtenu ‘’des résultats très appréciables en termes économiques, environnementaux et sociaux’’, etc.
Une vingtaine d’ouvrages hydro-agricoles et une trentaine d’infrastructures d’appui ou de valorisation de la production (écoles, cases de santé, batteuses à riz, magasins, décortiqueuses, moulins..) ont ainsi été réalisés, a-t-il signalé.
Selon le chef de l’antenne régionale du PAPIL, Mamadou Camara, les activités prévues dans le cadre de la 2e phase porteront encore sur la réalisation d’infrastructures hydro-agricoles et pastorales durables et la récupération et la valorisation de terres salées ou dégradées.
Il s’agit, entres autres, de l’aménagement de 11 nouvelles vallées et de sept mares pastorales, de la construction de 10 magasins communautaires multifonctionnels et d’une digue de 700 m à Médina Diokoye, de la régénération de 50 ha de mangroves et de la protection de cinq sites dans les milieux insulaires.
MS/ASG
