FATICK - L’AMBASSADEUR D’ISRAËL AU SENEGAL VISITE LES RÉALISATIONS DU PAPIL : « Un transfert du savoir-faire israélien dans la zone du projet »
Les bases d’un partenariat pour un transfert du savoir-faire israélien dans la zone d’intervention du Projet d’appui à la petite irrigation locale (Papil) sont déjà jetées. L’annonce a été faite par l’ambassadeur d’Israël au Sénégal, Gideon Behar, à l’issue de la visite des réalisations de ce projet qu’il a effectuée, mercredi, dans le département de Foundiougne.
Le Papil mène depuis 5 ans des activités visant à contribuer à la sécurité alimentaire par le développement de la petite irrigation au niveau local et aussi à augmenter la production agricole sur une base durable. D’importants ouvrages pour stopper l’intrusion de la langue saline et pour récupérer des terres salées ont été effectués. Entre autres sites, le Papil a construit deux ouvrages de retenues d’eau à Keur Aliou Guèye et est également intervenu à Keur Ousseynou Guèye pour élargir la parcelle maraîchère et renforcer les infrastructures hydrauliques. Ces deux sites ont été visités par l’ambassadeur d’Israël au Sénégal, Gideon Behar, qui s’est dit très impressionné par les effets des barrages anti-sel. Selon lui, ces ouvrages ont changé la vie des populations locales qui s’investissent pleinement dans les activités agricoles durant toute l’année. « Ces dernières ont une grande volonté de réussir mais il leur manque l’expertise et le savoir-faire », a expliqué son Excellence Gideon Behar. Manifestant sa volonté d’accompagner le projet, il a révélé que les bases d’un partenariat avec le Papil pour un transfert du savoir-faire israélien sans la zone d’intervention de ce projet sont déjà jetées.
Ce qui, selon, permettra aux populations locales d’augmenter la production et les rendements dans les zones maraîchères. Aussi, a-t-il tenu à rappeler qu’Israël et le Sénégal entretiennent de bonnes relations de coopération. Après s’être réjoui de la visite de l’ambassadeur d’Israël, le coordonnateur national du Papil, Amadou Baba Sy, a révélé qu’une requête pour la prolongation du projet a été formulée et déposée auprès des bailleurs. En tout cas, a-t-il dit, pour les années à venir, le projet va mettre l’accent sur la consolidation des acquis et l’intensification des activités.
Oumar Ngatty BA
Le Soleil
Le Papil mène depuis 5 ans des activités visant à contribuer à la sécurité alimentaire par le développement de la petite irrigation au niveau local et aussi à augmenter la production agricole sur une base durable. D’importants ouvrages pour stopper l’intrusion de la langue saline et pour récupérer des terres salées ont été effectués. Entre autres sites, le Papil a construit deux ouvrages de retenues d’eau à Keur Aliou Guèye et est également intervenu à Keur Ousseynou Guèye pour élargir la parcelle maraîchère et renforcer les infrastructures hydrauliques. Ces deux sites ont été visités par l’ambassadeur d’Israël au Sénégal, Gideon Behar, qui s’est dit très impressionné par les effets des barrages anti-sel. Selon lui, ces ouvrages ont changé la vie des populations locales qui s’investissent pleinement dans les activités agricoles durant toute l’année. « Ces dernières ont une grande volonté de réussir mais il leur manque l’expertise et le savoir-faire », a expliqué son Excellence Gideon Behar. Manifestant sa volonté d’accompagner le projet, il a révélé que les bases d’un partenariat avec le Papil pour un transfert du savoir-faire israélien sans la zone d’intervention de ce projet sont déjà jetées.
Ce qui, selon, permettra aux populations locales d’augmenter la production et les rendements dans les zones maraîchères. Aussi, a-t-il tenu à rappeler qu’Israël et le Sénégal entretiennent de bonnes relations de coopération. Après s’être réjoui de la visite de l’ambassadeur d’Israël, le coordonnateur national du Papil, Amadou Baba Sy, a révélé qu’une requête pour la prolongation du projet a été formulée et déposée auprès des bailleurs. En tout cas, a-t-il dit, pour les années à venir, le projet va mettre l’accent sur la consolidation des acquis et l’intensification des activités.
Oumar Ngatty BA
Le Soleil
