Un officiel souligne la capacité de mobilisation de l’eau de ruissellement à des fins agricoles
Dakar, 4 mars (APS) – Le potentiel de mobilisation de l’eau de ruissellement à des fins agricoles au Sénégal est énorme, a indiqué jeudi à Dakar, Oumar Bâ, conseiller technique du ministre de l’Environnement, de la Protection de la nature, des Bassins de rétentions et des Lacs artificiels.
‘’Pourtant, moins de 4% des terres sont irriguées’’, indiqué M. M. Bâ, à l’ouverture de la réunion du comité national de pilotage du Projet d’appui à la petite irrigation locale (PAPIL).
Le PAPIL examine lors de cette réunion, le bilan des activités de 2009, le programme d’activité de 2010 et le projet de budget y afférents.
Oumar Bâ a fait comprendre qu’il s’agira également, pour le comité de pilotage, d’approuver les microprojets de 2-ème génération, financés par le Fonds de développement local en appui aux actions de lutte contre la pauvreté.
‘’Ce fonds, a-t-il dit, autogéré par les communautés rurales, a déjà financé plus de 129 microprojets dans les domaines de l’hydraulique rurale, de la santé, de l’éducation et des équipements post récoltes’’.
C’est à ce propos, qu’il espère que l’approbation du budget par le comité de pilotage devrait donner les moyens nécessaires au projet d’atteinte des objectifs fixés en 2010.
M. Bâ s’est également satisfait des résultats ‘’satisfaisants’’ engrangés par le PAPIL en quatre années d’activités.
Le coordonnateur du PAPIL, Amadou Baba Sy, a, pour sa part, confié que trois ans après le démarrage de ses activités, une revue à mi-parcours du PAPIL, permet de noter des résultats satisfaisants et une forte mobilisation des populations autour des pôles de développement créés par sa structure.
‘’Grâce à son approche participative et consensuelle, et à sa gestion axée sur les résultats, le PAPIL a enregistré autour des ouvrages, une adhésion très forte des populations rurales et des communautés rurales’’, a expliqué M. Sy.
Il a aussi souligné que les populations bénéficiaires de ces ouvrages ont démontré leur capacité de s’organiser et de gérer les usages de la ressource eau créée.
‘’Cela, indique le coordonnateur du PAPIL, dans un esprit d’équité, de gouvernance locale et de respect de l’environnement, pour garantir la pérennisation des investissements consentis’’.
‘’Pourtant, moins de 4% des terres sont irriguées’’, indiqué M. M. Bâ, à l’ouverture de la réunion du comité national de pilotage du Projet d’appui à la petite irrigation locale (PAPIL).
Le PAPIL examine lors de cette réunion, le bilan des activités de 2009, le programme d’activité de 2010 et le projet de budget y afférents.
Oumar Bâ a fait comprendre qu’il s’agira également, pour le comité de pilotage, d’approuver les microprojets de 2-ème génération, financés par le Fonds de développement local en appui aux actions de lutte contre la pauvreté.
‘’Ce fonds, a-t-il dit, autogéré par les communautés rurales, a déjà financé plus de 129 microprojets dans les domaines de l’hydraulique rurale, de la santé, de l’éducation et des équipements post récoltes’’.
C’est à ce propos, qu’il espère que l’approbation du budget par le comité de pilotage devrait donner les moyens nécessaires au projet d’atteinte des objectifs fixés en 2010.
M. Bâ s’est également satisfait des résultats ‘’satisfaisants’’ engrangés par le PAPIL en quatre années d’activités.
Le coordonnateur du PAPIL, Amadou Baba Sy, a, pour sa part, confié que trois ans après le démarrage de ses activités, une revue à mi-parcours du PAPIL, permet de noter des résultats satisfaisants et une forte mobilisation des populations autour des pôles de développement créés par sa structure.
‘’Grâce à son approche participative et consensuelle, et à sa gestion axée sur les résultats, le PAPIL a enregistré autour des ouvrages, une adhésion très forte des populations rurales et des communautés rurales’’, a expliqué M. Sy.
Il a aussi souligné que les populations bénéficiaires de ces ouvrages ont démontré leur capacité de s’organiser et de gérer les usages de la ressource eau créée.
‘’Cela, indique le coordonnateur du PAPIL, dans un esprit d’équité, de gouvernance locale et de respect de l’environnement, pour garantir la pérennisation des investissements consentis’’.
