Le PAPIL obtient des ’’résultats encourageants’’ et se prolonge pour 3 ans (coordonnateur)
Tambacounda, 4 mai (APS) - Le Projet d’appui à la petite irrigation locale (PAPIL) a enregistré des ‘’résultats encourageants’’ qui ont motivé sa prolongation sur trois ans, avec un prêt supplémentaire de 6 milliards, a indiqué son coordonnateur national Younoussa Mballo.
Après avoir relevé ‘’quelques difficultés liées aux études qui peuvent être longues’’, ainsi qu’à la mise en œuvre de la démarche participative entre populations et collectivités locales qui prend du temps, M. Mballo a noté que ‘’malgré ces difficultés’’, le projet a eu à faire des résultats encourageants qui motivent et justifient la prolongation de ses activités pour trois ans.
Younoussa Mballo qui a qualifié, ce projet de ‘’globalement acceptable’’, mardi lors d’une réunion d’information, a indiqué que ‘’toutes les activités liées à la composante renforcement des capacités du projet, les résultats ont été globalement atteints, comparés aux objectifs initiaux du projet’’.
‘’En ce qui concerne la composante A sur les aménagements hydro-agricoles, les résultats certes, n’ont pas tous été atteints, mais aujourd’hui, avec tout ce qui a été engagé dans le cadre du prêt initial, nous pensons que d’ici maximum 6 mois, non seulement tous les objectifs seront atteint, (mais ils) seront dépassés en termes de nombre d’ouvrages hydro-agricoles qui seront réalisés’’, a-t-il assuré.
Forts de ces résultats, la Banque africaine de développement (BAD), avec le gouvernement du Sénégal, ’’accepte de poursuivre son appui sur trois ans. Le prêt supplémentaire est de 6 milliards qui s’ajoutent aux 10 autres milliards’’ de la première phase, a relevé Xavier Boulanger, son chargé de projet.
Profitant de l’occasion pour faire le bilan des réalisations des cinq ans du projet, M. Boulanger, en mission de supervision du PAPIL, pour lancer un projet supplémentaire, a relevé un ‘’certain nombre de retards qui ont été constatés dans la mise en œuvre des activités’’. Ils sont liés, a-t-il expliqué, à la démarche qui s’ajoute aux ‘’tracasseries administratives’’ qui font que les dossiers ‘’traînent un peu’’.
‘’Aujourd’hui, heureusement, on a dépassé cette phase. Il y a un nombre limité de sites qui ont été aménagés, mais beaucoup de réalisations sont en cours’’, a poursuivi l’agent de la BAD, tout en annonçant que ‘’dans les mois à venir, il y aura beaucoup d’aménagements qui seront réalisés’’.
Il a évoqué d’autres motifs de satisfaction des domaines comme la protection de l’environnement, avec des objectifs qui ont été atteints par rapport au fonds local de développement où 40 microprojets sont réceptionnés, ainsi que des salles de classes, des puits, des points d’eau ‘’qui ont apporté un mieux-être à la population’’.
Au-delà des montants injectés dans le PAPIL, une synergie s’est dégagée, et d’autres partenaires décident aussi d’accompagner le projet, a dit Xavier Boulanger, qui a jugé la démarche ’’séduisante’’.
‘’On intervient au niveau des collectivités locales sur des microprojets, des micro-barrages avec des résultats intéressants en termes d’activités de développement’’, a-t-il expliqué, ajoutant que c’est dans ce sens que la BAD va accompagner le projet dans les volets infrastructures, pistes de production, entre autres.
BC/ADI/AD
Après avoir relevé ‘’quelques difficultés liées aux études qui peuvent être longues’’, ainsi qu’à la mise en œuvre de la démarche participative entre populations et collectivités locales qui prend du temps, M. Mballo a noté que ‘’malgré ces difficultés’’, le projet a eu à faire des résultats encourageants qui motivent et justifient la prolongation de ses activités pour trois ans.
Younoussa Mballo qui a qualifié, ce projet de ‘’globalement acceptable’’, mardi lors d’une réunion d’information, a indiqué que ‘’toutes les activités liées à la composante renforcement des capacités du projet, les résultats ont été globalement atteints, comparés aux objectifs initiaux du projet’’.
‘’En ce qui concerne la composante A sur les aménagements hydro-agricoles, les résultats certes, n’ont pas tous été atteints, mais aujourd’hui, avec tout ce qui a été engagé dans le cadre du prêt initial, nous pensons que d’ici maximum 6 mois, non seulement tous les objectifs seront atteint, (mais ils) seront dépassés en termes de nombre d’ouvrages hydro-agricoles qui seront réalisés’’, a-t-il assuré.
Forts de ces résultats, la Banque africaine de développement (BAD), avec le gouvernement du Sénégal, ’’accepte de poursuivre son appui sur trois ans. Le prêt supplémentaire est de 6 milliards qui s’ajoutent aux 10 autres milliards’’ de la première phase, a relevé Xavier Boulanger, son chargé de projet.
Profitant de l’occasion pour faire le bilan des réalisations des cinq ans du projet, M. Boulanger, en mission de supervision du PAPIL, pour lancer un projet supplémentaire, a relevé un ‘’certain nombre de retards qui ont été constatés dans la mise en œuvre des activités’’. Ils sont liés, a-t-il expliqué, à la démarche qui s’ajoute aux ‘’tracasseries administratives’’ qui font que les dossiers ‘’traînent un peu’’.
‘’Aujourd’hui, heureusement, on a dépassé cette phase. Il y a un nombre limité de sites qui ont été aménagés, mais beaucoup de réalisations sont en cours’’, a poursuivi l’agent de la BAD, tout en annonçant que ‘’dans les mois à venir, il y aura beaucoup d’aménagements qui seront réalisés’’.
Il a évoqué d’autres motifs de satisfaction des domaines comme la protection de l’environnement, avec des objectifs qui ont été atteints par rapport au fonds local de développement où 40 microprojets sont réceptionnés, ainsi que des salles de classes, des puits, des points d’eau ‘’qui ont apporté un mieux-être à la population’’.
Au-delà des montants injectés dans le PAPIL, une synergie s’est dégagée, et d’autres partenaires décident aussi d’accompagner le projet, a dit Xavier Boulanger, qui a jugé la démarche ’’séduisante’’.
‘’On intervient au niveau des collectivités locales sur des microprojets, des micro-barrages avec des résultats intéressants en termes d’activités de développement’’, a-t-il expliqué, ajoutant que c’est dans ce sens que la BAD va accompagner le projet dans les volets infrastructures, pistes de production, entre autres.
BC/ADI/AD
