Dakar, 13 déc (APS) – Le Conseil économique et social (CES) a auditionné en plénière, lundi à Dakar, le Millenium challenge account (MCA) et de la Stratégie de la croissance accélérée (SCA) pour une meilleure imprégnation des conseillers de la vision de ces deux programmes destinés à relancer l’économie nationale et à lutter contre la pauvreté.
La première session extraordinaire de cette institution a été consacrée au MCA et à la SCA pour rompre avec une tradition qui consistait à recevoir que les ministères a fait savoir le président du Conseil Ousmane Masseck Ndiaye.
Il exprimé toute sa satisfaction par rapport à la pertinence des exposés destinés à une meilleure compréhension des programmes et a proposé la mise en place d’une commission chargée de rédiger un rapport.
‘’Notre mission n’est pas de critiquer mais de faire des diagnostics et de proposer des solutions. Nous allons mettre en place une commission et nous vous ferons parvenir des recommandations’’, a-t-il dit à l’endroit de Ibrahima Wade et de son collègue Ibrahima Dia, directeur général du MCA.
Dans leur exposé, ils sont tous revenus sur les raisons qui sous tendent ces deux programmes destinés à la relance de l’économie et à la lutte contre la pauvreté.
Ils ont expliqué aux conseillers les stratégies mises en œuvre pour réaliser des performances devant permettre d’ici l’horizon 2015 de faire ‘’des bons qualitatifs et quantitatifs vers l’émergence’’.
Le MCA, un don d’un montant de 540 millions de dollars pour une période de cinq ans, est une initiative du gouvernement américain pour aider les pays africains à réduire la pauvreté par la croissance économique durable.
Il obéit à des critères d’éligibilité répondant à la bonne gouvernance, à la création d’un environnement favorable à l’initiative privé et à l’investissement dans le secteur social entre autres.
Il consiste à réaliser des infrastructures structurantes dans les régions du Sénégal à fortes potentialités notamment le Nord, le sud et l’Est et regroupe les volets : infrastructures routières, infrastructures d’irrigation et de gestion des ressources en eau, sécurisation foncière et environnement et gestion des ressources naturelles.
Quant à la SCA, elle s’appuie sur un environnement favorable des affaires et sur l’identification de grappes porteuses notamment, le secteur de la pêche, du tourisme, de l’agriculture, du textile et des TIC.
C’est une initiative nationale qui s’est fixée des objectifs et des défis à relever pour une croissance économique avec la participation de tous à tous les niveaux.
BS/AD
La première session extraordinaire de cette institution a été consacrée au MCA et à la SCA pour rompre avec une tradition qui consistait à recevoir que les ministères a fait savoir le président du Conseil Ousmane Masseck Ndiaye.
Il exprimé toute sa satisfaction par rapport à la pertinence des exposés destinés à une meilleure compréhension des programmes et a proposé la mise en place d’une commission chargée de rédiger un rapport.
‘’Notre mission n’est pas de critiquer mais de faire des diagnostics et de proposer des solutions. Nous allons mettre en place une commission et nous vous ferons parvenir des recommandations’’, a-t-il dit à l’endroit de Ibrahima Wade et de son collègue Ibrahima Dia, directeur général du MCA.
Dans leur exposé, ils sont tous revenus sur les raisons qui sous tendent ces deux programmes destinés à la relance de l’économie et à la lutte contre la pauvreté.
Ils ont expliqué aux conseillers les stratégies mises en œuvre pour réaliser des performances devant permettre d’ici l’horizon 2015 de faire ‘’des bons qualitatifs et quantitatifs vers l’émergence’’.
Le MCA, un don d’un montant de 540 millions de dollars pour une période de cinq ans, est une initiative du gouvernement américain pour aider les pays africains à réduire la pauvreté par la croissance économique durable.
Il obéit à des critères d’éligibilité répondant à la bonne gouvernance, à la création d’un environnement favorable à l’initiative privé et à l’investissement dans le secteur social entre autres.
Il consiste à réaliser des infrastructures structurantes dans les régions du Sénégal à fortes potentialités notamment le Nord, le sud et l’Est et regroupe les volets : infrastructures routières, infrastructures d’irrigation et de gestion des ressources en eau, sécurisation foncière et environnement et gestion des ressources naturelles.
Quant à la SCA, elle s’appuie sur un environnement favorable des affaires et sur l’identification de grappes porteuses notamment, le secteur de la pêche, du tourisme, de l’agriculture, du textile et des TIC.
C’est une initiative nationale qui s’est fixée des objectifs et des défis à relever pour une croissance économique avec la participation de tous à tous les niveaux.
BS/AD