Saint-Louis, 25 mai (APS) - Le directeur général du MCA Sénégal Ibrahima Dia a affirmé que le critère le plus déterminant dans le choix des zones Sud et Nord pour accueillir le programme financé par le gouvernement américain a été le potentiel économique dont regorgent ces deux régions.
Ces deux régions ‘’ont le potentiel le plus élevé en termes de développement économique’’, a dit à l’APS M. Dia, mettant l’accent sur les effets d’entraînement que les projets ciblés devront avoir sur l’ensemble de l’économie nationale.
‘’Elles sont toutes des régions périphériques et les infrastructures routières constituent une contrainte principale pour leur développement’’, a expliqué le DG du MCA. Selon lui, si le riz connaît une augmentation de sa production, c’est tout le pays qui en ressentirait les conséquences.
D’où l’opportunité de mettre en place des aménagements hydro-agricoles pour accélérer la production et construire des routes pour permettre l’écoulement de la production sur l’ensemble du territoire national.
Le directeur général du MCA Ibrahima Dia et la représentante résidente de Millenium Challenge Corporation (MCC) Tanya Southerland Narcel effectuait lundi une visite repérage dans la zone Nord cible, avec la zone Sud, de ce programme d’investissement agricole et routier.
‘’Le MCA ne va s’attaquer à des questions déjà bien prises en compte par des structures comme l’ARM (Agence de régulation des marchés) et les importateurs’’, a dit M. Dia interpellé sur les contraintes liées à la commercialisation dont il espère une issue favorable avec la mise en place d’une centrale.
‘’Les Japonais aussi mènent des activités pour résoudre ce problème bien identifié’’, a expliqué Mamadou Dia, avant d’ajouter : ‘’dans les zones où nous serons, nous allons collaborer’’.
‘’Le projet est dans une phase d’étude et les appels d’offres sont lancés pour l’attribution des marchés pour les routes et les bureaux de contrôle’’, a déclaré M. Dia qui a insisté sur l’importance de la maintenance pour la durabilité des infrastructures projetées.
‘’Je sais que les gens sont impatients mais il faut des préalables car une fois que nous aurons commencé, nous ne devons plus nous arrêter’’, a promis celle qui a déjà séjourné dans la zone Nord vers les années 90 en tant qu’étudiante.
Pour sa part, la représentante résidente de MCC Tanya Southerland Narcel a dit que ‘’l’enthousiasme des populations à accueillir les projets est une note de confiance et un motif de fierté pour l’opportunité de ces projets’’.
Elle a rappelé que le critères d’éligibilité à ce programme sont la bonne gouvernance dans la gestion des affaires publiques, la création d’un environnement propice aux affaires et l’engagement de l’Etat à faire des investissements dans le secteur social : santé et éducation notamment.
‘’Nous sommes dans une phase de mobilisation des fonds et de finalisation des contrats avec les partenaires engagés dans ce programme’’, a déclaré Mme Narcel qui a promis très souvent des descentes sur le terrain pour se rendre compte de l’évolution du programme.
Etalé sur une durée de cinq ans le MCA a été signé en septembre dernier à Washington en présence du président Abdoulaye Wade et de la secrétaire d’Etat Hillary Clinton. Il est fiancé par le gouvernement américain à hauteur de 270 milliards de francs.
Ces deux régions ‘’ont le potentiel le plus élevé en termes de développement économique’’, a dit à l’APS M. Dia, mettant l’accent sur les effets d’entraînement que les projets ciblés devront avoir sur l’ensemble de l’économie nationale.
‘’Elles sont toutes des régions périphériques et les infrastructures routières constituent une contrainte principale pour leur développement’’, a expliqué le DG du MCA. Selon lui, si le riz connaît une augmentation de sa production, c’est tout le pays qui en ressentirait les conséquences.
D’où l’opportunité de mettre en place des aménagements hydro-agricoles pour accélérer la production et construire des routes pour permettre l’écoulement de la production sur l’ensemble du territoire national.
Le directeur général du MCA Ibrahima Dia et la représentante résidente de Millenium Challenge Corporation (MCC) Tanya Southerland Narcel effectuait lundi une visite repérage dans la zone Nord cible, avec la zone Sud, de ce programme d’investissement agricole et routier.
‘’Le MCA ne va s’attaquer à des questions déjà bien prises en compte par des structures comme l’ARM (Agence de régulation des marchés) et les importateurs’’, a dit M. Dia interpellé sur les contraintes liées à la commercialisation dont il espère une issue favorable avec la mise en place d’une centrale.
‘’Les Japonais aussi mènent des activités pour résoudre ce problème bien identifié’’, a expliqué Mamadou Dia, avant d’ajouter : ‘’dans les zones où nous serons, nous allons collaborer’’.
‘’Le projet est dans une phase d’étude et les appels d’offres sont lancés pour l’attribution des marchés pour les routes et les bureaux de contrôle’’, a déclaré M. Dia qui a insisté sur l’importance de la maintenance pour la durabilité des infrastructures projetées.
‘’Je sais que les gens sont impatients mais il faut des préalables car une fois que nous aurons commencé, nous ne devons plus nous arrêter’’, a promis celle qui a déjà séjourné dans la zone Nord vers les années 90 en tant qu’étudiante.
Pour sa part, la représentante résidente de MCC Tanya Southerland Narcel a dit que ‘’l’enthousiasme des populations à accueillir les projets est une note de confiance et un motif de fierté pour l’opportunité de ces projets’’.
Elle a rappelé que le critères d’éligibilité à ce programme sont la bonne gouvernance dans la gestion des affaires publiques, la création d’un environnement propice aux affaires et l’engagement de l’Etat à faire des investissements dans le secteur social : santé et éducation notamment.
‘’Nous sommes dans une phase de mobilisation des fonds et de finalisation des contrats avec les partenaires engagés dans ce programme’’, a déclaré Mme Narcel qui a promis très souvent des descentes sur le terrain pour se rendre compte de l’évolution du programme.
Etalé sur une durée de cinq ans le MCA a été signé en septembre dernier à Washington en présence du président Abdoulaye Wade et de la secrétaire d’Etat Hillary Clinton. Il est fiancé par le gouvernement américain à hauteur de 270 milliards de francs.