Quelque 1500 producteurs viennent d’être formés dans la production rizicole, la nouvelle technique maraîchère, la gestion de la production, la conservation des eaux, la défense et la restauration des sols, la lutte phytosanitaire par le programme d’appui à la petite irrigation locale, Papil, dans la région de Tambacounda.
Après le programme d’ancrage de 2006 qui a permis de réhabiliter 30 ha de bas fonds à Bandafassy, dans le Kédougou, pour la production de semence de riz, le Papil, selon son coordinateur régional, Mahanta Ndiaye, a encadré 4 communautés rurales que sont Goudiry, Kothiary du département de Bakel, Missirah et Dialacoto dans le Tambacounda pour les cultures hivernales et la production maraîchère. Cela a permis, selon lui, en 2007, de renforcer les capacités en gestion des organismes communautaires de base des femmes et des jeunes avec l’aménagement de deux vallées par la construction de deux mini-barrages à Dialacoto et Koumpentoum, en plus des 70 ha dans les communautés rurales de Bandafassy et Saraya.
Les actions d’accompagnement, d’après Mouhamadou Lamine Thioune, ont permis au projet de jouer sa véritable contribution aux questions de pauvreté et genre avec l’appui à la structuration des organismes paysans la mise en place d’un réseau de producteurs de semences, de conservation et de transformation des produits agricoles.
Pour lui, ce sont 1500 producteurs qui sont engagés dans cette dynamique depuis l’année dernière dans la production rizicole, la nouvelle technique maraîchère, la lutte phytosanitaire, la gestion de la production, la conservation des eaux, la défense et la restauration des sols. Le projet a aussi mis en place un volet Iec pour la santé et la protection de l’environnement avec les transformations sociales qui naissent avec l’avènement de ces ouvrages hydrauliques.
Le Soleil
Après le programme d’ancrage de 2006 qui a permis de réhabiliter 30 ha de bas fonds à Bandafassy, dans le Kédougou, pour la production de semence de riz, le Papil, selon son coordinateur régional, Mahanta Ndiaye, a encadré 4 communautés rurales que sont Goudiry, Kothiary du département de Bakel, Missirah et Dialacoto dans le Tambacounda pour les cultures hivernales et la production maraîchère. Cela a permis, selon lui, en 2007, de renforcer les capacités en gestion des organismes communautaires de base des femmes et des jeunes avec l’aménagement de deux vallées par la construction de deux mini-barrages à Dialacoto et Koumpentoum, en plus des 70 ha dans les communautés rurales de Bandafassy et Saraya.
Les actions d’accompagnement, d’après Mouhamadou Lamine Thioune, ont permis au projet de jouer sa véritable contribution aux questions de pauvreté et genre avec l’appui à la structuration des organismes paysans la mise en place d’un réseau de producteurs de semences, de conservation et de transformation des produits agricoles.
Pour lui, ce sont 1500 producteurs qui sont engagés dans cette dynamique depuis l’année dernière dans la production rizicole, la nouvelle technique maraîchère, la lutte phytosanitaire, la gestion de la production, la conservation des eaux, la défense et la restauration des sols. Le projet a aussi mis en place un volet Iec pour la santé et la protection de l’environnement avec les transformations sociales qui naissent avec l’avènement de ces ouvrages hydrauliques.
Le Soleil