Arrivée à maturité dans les régions de Fatick, Tambacounda, Kolda et Kédougou, le Projet d’appui à la petite irrigation locale (Papil) peut, d’ores et déjà, avoir à une envergure nationale. C’est en tout cas l’avis des autorités face à la mission de suivi la Bad qui en a visité les réalisations.
De l’avis du coordonnateur national du Projet d’appui à la petite irrigation locale (Papil), Amadou Baba Sy, les sites aménagés par le Papil depuis 2006 sont devenus aujourd’hui de véritables pôles de développement. Dans les zones couvertes par le projet, a-t-il soutenu, les populations bien organisées s’investissent pleinement dans la culture de riz pendant l’hivernage, le riz de contre-saison, le maraîchage, la sylviculture et la pisciculture. Autant d’activités qui leur permettent d’améliorer leurs conditions de vie. Aussi, a-t-il saisi l’occasion d’une mission de suivi et de contrôle de la Banque africaine de développement (Bad), venue de Tunis, pour lancer un appel aux hautes autorités sénégalaises pour qu’elles s’approprient ce programme financé par la Bad à hauteur de 12 milliards Fcfa.
Il devrait, selon lui, s’étendre en programme national parce qu’ayant déjà fait l’objet d’une appropriation par les populations de Fatick, Tambacounda, Kolda et Kédougou.
Le conseiller technique N°1 du ministre d’Etat, ministre de l’Environnement, colonel Pape Waly Dièye, a exprimé un sentiment de satisfaction par rapport aux actions menées sur le terrain et aussi de reconnaissance à l’endroit de la Bad.
Pour lui, le Papil rentre dans la stratégie de politique du secteur de l’Environnement actuel du Sénégal, notamment ce qu’on appelle la gestion axée sur les résultats.
Magnifiant cet exemple de coopération entre le gouvernement du Sénégal et la Bad, qui s’inscrit dans les normes, il a estimé que compte tenu des résultats satisfaisants obtenus par le programme-test et puisque c’est un prêt, l’Etat est dans la disponibilité de l’étendre pour avoir un programme national. D’autant que, selon lui, c’est une bonne réponse aux préoccupations des populations.
Oumar Ngatty Bâ
Le Soleil
De l’avis du coordonnateur national du Projet d’appui à la petite irrigation locale (Papil), Amadou Baba Sy, les sites aménagés par le Papil depuis 2006 sont devenus aujourd’hui de véritables pôles de développement. Dans les zones couvertes par le projet, a-t-il soutenu, les populations bien organisées s’investissent pleinement dans la culture de riz pendant l’hivernage, le riz de contre-saison, le maraîchage, la sylviculture et la pisciculture. Autant d’activités qui leur permettent d’améliorer leurs conditions de vie. Aussi, a-t-il saisi l’occasion d’une mission de suivi et de contrôle de la Banque africaine de développement (Bad), venue de Tunis, pour lancer un appel aux hautes autorités sénégalaises pour qu’elles s’approprient ce programme financé par la Bad à hauteur de 12 milliards Fcfa.
Il devrait, selon lui, s’étendre en programme national parce qu’ayant déjà fait l’objet d’une appropriation par les populations de Fatick, Tambacounda, Kolda et Kédougou.
Le conseiller technique N°1 du ministre d’Etat, ministre de l’Environnement, colonel Pape Waly Dièye, a exprimé un sentiment de satisfaction par rapport aux actions menées sur le terrain et aussi de reconnaissance à l’endroit de la Bad.
Pour lui, le Papil rentre dans la stratégie de politique du secteur de l’Environnement actuel du Sénégal, notamment ce qu’on appelle la gestion axée sur les résultats.
Magnifiant cet exemple de coopération entre le gouvernement du Sénégal et la Bad, qui s’inscrit dans les normes, il a estimé que compte tenu des résultats satisfaisants obtenus par le programme-test et puisque c’est un prêt, l’Etat est dans la disponibilité de l’étendre pour avoir un programme national. D’autant que, selon lui, c’est une bonne réponse aux préoccupations des populations.
Oumar Ngatty Bâ
Le Soleil