Le Projet d’Appui à la Petite Irrigation Locale (Papil) suscite beaucoup d’espoir chez les populations des huit communautés rurales de la région de Tambacounda où il intervient. Déjà en 2005-2006 à Bandafassy, et dans le cadre de son programme d’ancrage,30 hectares de bafonds sont aménagés et cela a permis aux populations de la contrée d’accroître sensiblement la production et de produire 1.5 t de semence certifiée de riz ayant permis d’emblaver cette année 16 hectares
D’ici la fin de l’année,du moins si l’on en croit le coordonnateur de l’antenne de Tambacounda,les communautés rurales de Saraya,Dakatéli et Bandafassy devront voir les études pour l’aménagement de 50 hectares bouclées Une entreprise est sélectionnée pour réaliser les travaux en fin d’hivernage Le long du fleuve Gambie,dans la zone de production bananière de Gouloumbou,50 autres hectares vont être aménagés dans le cadre de l’amélioration de systèmes d’irrigation(réduction du temps de travail,limiter les pertes d’eau) et des études sont en cours avec l’Ancar pour trouver une issue salvatrice aux problèmes de commercialisation de la banane.
In fine, ce seront 400 hectares de bafonds et de vallées, surtout les vallées plus ou moins vierges des communautés rurales de Koumpentoum et Dialacoto à la fin de la quatrième année.15 ouvrages dont une dizaine de retenues collinaires et 5 mares à vocation pastorale seront réalisées
Des conventions de partenariat entre le Papil et plusieurs autres structures sont paraphées. L’Isra s’activera par exemple dans la recherche-développement en vue de la protection des semences de riz et de la mise en place d’un packerge technologique adapté. L’Ancar officiera dans la restructuration des organisations de producteurs et l’amélioration des conditions de la production maraîchère. Avec l’inspection régionale des eaux et forêts des programmes de lutte contre la détérioration de l’environnement et la protection des bafonds sont élaborés. D’ailleurs à Bandafassy, 2000 plans forestiers sont offerts aux populations par le projet pour réaliser une plantation. Le centre du suivi écologique et la direction de la gestion et de la planification des ressources en eau s’occupent du suivi écologique et examinent de près les fluctuations de la nappe pour une eau de bonne qualité.
Des actions d’accompagnement sont aussi envisagées comme la lutte contre le paludisme .Dans ce cadre justement des centaines de moustiquaires imprégnées sont distribuées aux populations et des activités d’IEC planifiées. Les élus des collectivités locales où intervient le projet (Goudiry, Kothiary, Missira, Dialacoto, Koumpentoum, Bandafassy, Saraya et Dakatéli) ainsi que les producteurs bénéficieront de séances de renforcement de capacité .Autant de bonnes choses qui ont fait naître beaucoup d’espoir notamment chez les populations rizicultrices de la région orientale.
Sud Quotidien
In fine, ce seront 400 hectares de bafonds et de vallées, surtout les vallées plus ou moins vierges des communautés rurales de Koumpentoum et Dialacoto à la fin de la quatrième année.15 ouvrages dont une dizaine de retenues collinaires et 5 mares à vocation pastorale seront réalisées
Des conventions de partenariat entre le Papil et plusieurs autres structures sont paraphées. L’Isra s’activera par exemple dans la recherche-développement en vue de la protection des semences de riz et de la mise en place d’un packerge technologique adapté. L’Ancar officiera dans la restructuration des organisations de producteurs et l’amélioration des conditions de la production maraîchère. Avec l’inspection régionale des eaux et forêts des programmes de lutte contre la détérioration de l’environnement et la protection des bafonds sont élaborés. D’ailleurs à Bandafassy, 2000 plans forestiers sont offerts aux populations par le projet pour réaliser une plantation. Le centre du suivi écologique et la direction de la gestion et de la planification des ressources en eau s’occupent du suivi écologique et examinent de près les fluctuations de la nappe pour une eau de bonne qualité.
Des actions d’accompagnement sont aussi envisagées comme la lutte contre le paludisme .Dans ce cadre justement des centaines de moustiquaires imprégnées sont distribuées aux populations et des activités d’IEC planifiées. Les élus des collectivités locales où intervient le projet (Goudiry, Kothiary, Missira, Dialacoto, Koumpentoum, Bandafassy, Saraya et Dakatéli) ainsi que les producteurs bénéficieront de séances de renforcement de capacité .Autant de bonnes choses qui ont fait naître beaucoup d’espoir notamment chez les populations rizicultrices de la région orientale.
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